[Concours] Poster Dédicacé your Majesty

L’objet de cet article est recenser les impressions des fans présents au concert de Paris et Lyon. En publiant une chronique, chacun aura le droit à un ticket dans le chapeau en vue du tirage au sort final du 9 février.

Le concours

Voici les détails du concours publié le 30/01/2019

Faites nous part de vos impressions sur les concerts de Lyon et/ou Paris en rédigeant une chronique. Vous pouvez joindre une photo à celle-ci. Ces compte-rendus seront publiés sur le blog et l’un de vous sera tiré au sort et remportera le poster dédicacé par James, John P. et Jordan lors de l’aftershow à La Seine Musicale. Envoyez vos copies par mail à ymsignedposter@kikithehead.org

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Clôture du concours le 9 février à 6:00 (désolé, décembre c’est trop loin).

Participations des fans

Ci-dessous, vous trouverez les chroniques rédigées par les fans.

Guillaume Michon

Hey ! Salut les Dreamers, 

J’hésitais à participer à cette chronique et puis je me suis dit que ça pourrait être sympa finalement de vous donner mes impressions.

Bref, retour sur ce concert anniversaire en mode non analytique. Je ne veux pas être trop barbant mais tout le monde a son avis, du musicien au simple novice.

Alors comme à chaque fois, petite expédition à Paris pour voir Dream Theater que j’avais quitté pour ma part en 2014 lors de la tournée anniversaire d’Images and Words et un sublime concert à l’Olympia.

Après la sortie d’astonishing qui n’a pas su me contenter me voilà repartie sur cette tournée immanquable «Metropolis tour 2020 »

Tournée historique pour mes petits camarades et moi-même puisque notre premier concert de DT fut au Zénith de Paris en l’an 2000.

C’est donc plein de nostalgie que j’appréhendais ce concert.

Pourquoi ? Facile à deviner…

Si j’étais à peu près sûr de la prestation de nos musiciens favoris, j’avais un sérieux doute quant à celle de notre James international. Les derniers « échos » ne semblaient pas être rassurant.

Enfin bon, j’y allais plutôt en mode, one shot ! Pas de Setlist en tête, pas d’attente particulière, juste une bonne place en fosse pour pouvoir « jumper » un peu. 

Car si en 2000 nous avions vécu une soirée dantesque autant musicalement que physiquement « The War Zone » (La guerre dans la fosse). Autant vingt ans plus tard, les fans s’étant passablement assagis, je savais que je profiterais d’une belle soirée. 

Arrivé donc devant cette « Seine musicale » Salle que je ne connaissais pas, et agréablement surpris par le cadre du site, j’espère à ce moment-là que le son sera propre. 

Allez Ready to rummmble! timing impeccable, l’evening with Dream fukin’ Theater commence !

Comme c’est bon de retrouver nos « pépés » survitaminés ! Le son est fort, les bouchons s’imposent mais avec les filtres ça gère. Placé en deuxième rangée dans la fosse devant John Myung comme à mon habitude. C’est de la que je trouve profiter le mieux du show. 

Ça part fort, tout le groupe est présent et je suis aux anges ! Autour de moi il y a une petite émulation, ça fait plaisir !

Voilà que James commence à chanter et la ça se gâte. Outch… La première ligne de chant a du mal à passer et on voit James agacé. On voit bien que ça ne va pas. Pas cool pour lui, ni pour nous puisqu’on ne l’entend pas au final. Et éloigner le micro de temps en temps ne suffira pas à masquer ces difficultés.

Bon j’en profite tout de même pour enregistrer quelques passages comme tout fan qui se respecte. Mon téléphone encaisse bien le son puissant de la grosse caisse et le claquant de la caisse clair du talentueux Mike Mangini on Fire et des basses de John myung tout remuant.

Mister Petrucci dit le bûcheron des rêves est toujours autant impliqué et je savoure chaque note de ses guitares toujours aussi nombreuses. Comme à chaque fois je me demande comment il retient tous ses plans. En tout cas un régal.

La première partie passe comme un claquement de doigts. Avec les fans autour de moi on se dit que c’était un peu court… Mais on sait ce qui nous attend juste après l’entracte. 

J’envoie mes vidéos à mon poto chech dit labrioche85, qui n’a pas pu venir. Il est dégouté… Lol. Pas faute de lui avoir dit de venir! 

Nous voilà de retour pour la deuxième partie. J’ai peur… Comment James va pouvoir assurer scenes from memory vu la première partie…

Et là c’est la claque. Les premières notes résonnent et on revient 20 ans en arrière ! Que du bonheur, des frissons et le grand kiff ! Tout le monde chante en cœur. Et arrivé l’overture 1928. On y ait ! C’est énorme ! Je lance un Facebook live… Pour mon pote chech bien sûr ! Et là miracle, James assure ! c’est une deuxième partie complètement différente. Après avoir vu ça on peut mourir tranquille ! le plus tard possible… mais que c’est bon !

A mon sens, c’est l’album qui restera comme celui qui a mis tous les fans d’accord, non ?! 

Les titres s’enchaînent, tout est clair, je me permets même d’enlever mes bouchons car le son me paraît meilleur où c’est que je deviens sourd…

On prend une grosse dose d’amour ! Et je vois bien que le groupe prend plaisir. Quoi de mieux ?! 

Un Home dantesque, un Spirit Carries On à pleurer et déjà arrive Finaly free !!! Ce concert est définitivement trop court et ce n’est pas le rappel et le très bon At Wit’s End qui me rassasiera. 

Fin du concert, terminé bonsoir ! 

On sort de la salle avec la Banane comme des gamins, récurer un t-shirt pour la collection, et on se refait déjà les vidéos de la soirée.

Comme à chaque fois, on se dit que c’était peut-être le dernier ! 

Mais finalement, ce groupe reste définitivement graver dans nos vies.

Merci dream theater… To live forever… 

Ludo Sut

Dream Theater, plaisir régressif.

Voir Dream Theater à quarante minutes de chez soi, c’est un peu comme avoir l’un de ses groupes préférés qui vient à la maison. Difficile donc de passer à côté du concert des New-Yorkais à la halle Tony Garnier de Lyon ce 27 janvier 2020. Cela d’autant plus avec la perspective d’entendre dans son intégralité le formidable « Scenes from a memory« . Les extraits du dernier opus étant également de bonnes factures, tout était réuni pour vivre une belle soirée. Une sorte de régression juvénile et nostalgique un peu plus de vingt ans après une première expérience avec le groupe au Transbordeur, lors de la tournée de « Falling into infinity ».

Première constatation en entrant dans la salle, la Halle Tony Garnier a été réduite dans une configuration au tiers de sa capacité totale (2 000 à 3 000 places grosso modo dans un espace pouvant contenir 17 000 personnes). Ce n’est pas une surprise, car il est difficile d’imaginer DT pouvoir réunir plus de 10 000 personnes sur un concert français. Cela dit, cette configuration n’est pas pour déplaire. Elle est la promesse de voir le groupe « les yeux dans les yeux ». Par ailleurs, on est loin de se marcher sur les pieds. Si cela laisse à penser que la halle n’a pas complètement fait le plein, cela permet néanmoins d’apprécier le concert avec un certain confort. Par ailleurs, la scène, ni trop grande, ni trop petite, apparaît idéale pour mettre en valeur le groupe dans une déco et des jeux de lumière plutôt sobres.

La première partie du set reprend essentiellement des morceaux du dernier album. Ceux-ci rendent plutôt bien en live, notamment « Fall into the light » et son break du milieu qui est quand même un peu copié sur celui de « Master of puppets« . J’ai plaisir à entendre « A nightmare to remember » et « In the presence of the ennemies part 1 », le deux seuls morceaux plus anciens de la première partie. Ceux-ci restent dans le ton d’un concert « raw » plutôt enlevé et énergique. Ce qui est parfait pour moi.

Il n’y a pas de surprise. Le groupe est parfaitement en place et l’exécution est carrée. Le son est fort et de qualité (ce qui est notable à la halle Tony Garnier). La mise en avant de la guitare de John Petrucci n’est pas un problème pour moi. Bien au contraire, dans la mesure ou je préfère le visage plus métal que progressif du groupe.

En revanche, il faut en convenir, le chant de James Labrie paraît parfois limite. Notamment sur les parties les plus enlevées. Le chanteur fait souvent débat chez les fans. Néanmoins cette impression semble avoir été partagée par pas mal de personnes. C’est dommage car sur les parties plus calmes, la voix de Labrie prend toute sa place. Le Canadien semble également retrouver de la puissance à l’entame de « Scenes from a memory ». Il atteint alors plus facilement les aigus. Un mot également sur Mike Mangini que je voyais en live pour la première fois. Celui-ci est incontestablement un bon technicien, mais il n’a pas le charisme de Mike Portnoy qui, pour le coup, manque. Forcément.

Malgré ces réserves, le plaisir d’entendre et de voir le groupe est bien là. Il est même décuplé avec l’interprétation de « Métropolis part II » après un entracte d’un quart-d’heure. Quel régal d’entendre dans son intégralité ce qui reste et restera sans doute le sommet des Américains. L’enchaînement du début avec, « Overture/strange déjà vu », suivi de « Through my word », puis « Fatal tragedy » s’avère phénoménal et parfaitement exécuté. Côté ambiance, comme souvent à Lyon, le public peut paraître un peu timide. Il faut dire aussi que Dream Theater n’est pas vraiment un groupe qui pousse à pogoter. L’ambiance va néanmoins monter d’un cran avec le début de « SFAM« .  Le public est clairement venu pour voir le groupe interpréter son œuvre phare. Il n’est pas rare que les paroles des chansons soient reprises. Le moment de communion le plus fort entre le groupe et le public reste sans doute sur « The spirit carries on », véritable morceau fédérateur avec son refrain facilement mémorisable et son magnifique solo de guitare.

Dream Theater clôture finalement son concert après 2h30 de show avec « At wit’s end« , extrait de son dernier album. Cette conclusion est satisfaisante mais laisse tout de même un léger goût d’inachevé. En effet, on est un peut frustré de ne pas avoir pu entendre en ultime rappel un des « hits historiques » du groupe, que se soit « Metropolis part I » ou « Pull me under » (ou mieux les deux).  C’est histoire de chipoter, car au final, « le théâtre du rêve » a fait le job pour ce qui restera un excellent concert. Après quelques jours, les images de celui-ci restent d’ailleurs encore en tête. Comme celle de James Labrie assis sur les marches de la scène lançant le premier couplet de « Scenes from memory » accompagné de John Petrucci à la guitare acoustique, tandis que s’égrène le compte à rebours de l’hypnose de Nicholas. 5,4,3,2… Close your eyes and begin to relax. Dream Theater n’a pas fini de nous éblouir.

Patrice Du Houblon

Plus que jamais, de nos jours les artistes ont besoin de la scène pour exister. Certes, la scène fut et restera le plus souvent une raison d’être pour la plupart des musiciens, mais l’évolution du marché du disque et la très faible ouverture d’esprit des média français rend cet exercice désormais quasi vital pour survivre. Je me permets donc de me montrer perplexe sur la répétition du concept « une soirée avec … » auquel beaucoup d’artistes semblent désormais attachés. Moi-même au début je trouvais enivrant d’assister durant toute une soirée à un concert de Steven Wilson, d’Anathema ou de Dream Theater… Mais avec le recul je me dis aussi que bon nombre d’artistes seraient ravis de bénéficier d’une invitation à se faire connaitre…

Sur les douze concerts précédents auxquels j’ai pu assister, seuls quatre m’ont permis de voir d’autres groupes invités ; la découverte de Spock’s Beard (07/04/2000), puis de Pain of Salvation (07/02/2002), et Periphery (03/02/2012) et, dans le cadre de ProgNation (04/10/2009), Unexpect, Bigelf, et Opeth.

Me voilà donc de nouveau taraudé par un sentiment partagé ; une belle et longue soirée s’annonce avec Dream Theater, sans la pollution d’un groupe d’ouverture qui aurait pu être mal choisi, mais aussi sans une potentielle découverte musicale …

Bon, c’est un débat. Un de plus dans notre microcosme de passionnés … Mais ce n’est pas cette question qui pourrait parvenir à ternir ma bonne humeur à l’ouverture des portes de La Seine Musicale à 17h30. Quelques cinq mille personnes s’engouffrent avec nous dans le superbe auditorium…

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La suite de la chronique est sur le blog de Patrice Du Houblon : https://patriceduhoublon.blogspot.com/2020/01/dream-theater-la-seine-musicale-26012020.html

Céline Fuma

L’année dernière, j’ai décidé de me faire plaisir, en m’offrant une place de concert pour Dream Theater, vu qu’ils passaient à Lyon, c’était l’occasion. J’ai même participé avant le concert à la rencontre entre fans. Moment bien agréable, avec un petit concours à la clef, bien sympa. Le concert était génial, les solos de guitares, des claviers, la batterie au top, la basse et bien sur James au chants, qui avait un peu de mal par moments. Mais j’étais tellement contente que je ne faisait pas cas,  avec toutes les dates de la tournée. Petit souvenir avec l’achat d’ un tee shirt. Et  pour finir en beauté, l’After show, gagnez gagnez par tirage au sort lors de la rencontre au Nikassi. J’avais acheté le billet pour mon anniversaire. Donc j’ai étais bien gâté. Mon frère fan aussi, ma dit q’il n’y a pas de hasard dans la vie… Et l’album  » Scènes from à memory » joué ce soir lors du concert, est sorti le 26 octobre 1999. Date de mon anniversaire…

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Mickael Chauvin

En ce dimanche 26 Janvier,blasé de ne mettre rendu à ce fameux concert(raison financière,septique sur le 1er set,peur d’être déçu de James a cause de mon abus de vidéos YouTube)je me fais une raison,j’avais qu’a écouter mon instinct qui me disait que l’on ne vit qu’une fois,et j’aurais rejoins mes potes…Bref mes justement potes,auquels j’avais demander de me faire quelques lives,histoire de communier devant la grand messe,ce sont plutot bien exécutés,d’un côté mon Rodolphe R. qui me fait gagner un poster grâce a sa  Killing Hand innocente lors de la rencontre entre fan physique et distants(over time),puis mon Guillaume M!(Je ne le remercirais jamais assez d’ailleurs)L’heure du concert débutant je continuais d’espérer un petit live d’Untethered Angel que j’aime énormément et là,le miracle arrive,je vois mon pote en Live facebook,mon dieu me dis-je et bim c’était partit.Comme prévu un James à la peine sur le refrain,mais plein d’entrain,donc bah pas surpris pour un sous,mon petit plaisir accomplis je me maudit un fois de plus de mon mauvais choix.Et là ma soirée bascule,je vois que mon Guillaume s’arrête pas de filmer et enchaîne les titres,je suis hystérique chez moi,renis femme et enfants pour pouvoir suivre le live qui,me dis je,va bien s’arrêter  à un moment!Mais non A Nightmare to Remember débute,j’entends que ca joue propre le son de la salle a pas l’air si mal dans les premiers rang a gauche,mon casque sur les oreilles, j’entend John Muyng ca fait plaisir,Petrucci est fort dans le mix,la batterie sonne bien et fort,hormis la caisse claire dont le son me dérangeras tout le show mais n’était pas physiquement sur place cela ne gêne en rien le plaisir intense que je ressens,tout en communiquant avec mon pote qui exulte dans la fosse,je sens l’ambiance qui monte,le premier set ne m’a pas marqué plus que ça étant donné la tonne de vidéos que j’ai suivies,aucune surprise ne pouvais arriver,donc fin du premier set au bout d’une heure!Bon bah c’etait cool,je me dis fin du live pour moi merci infiniment my Friend!Que nenni,il ne lâche pas l’affaire le bougre…” Close your eyes and begin to relax…”Et mon James qui commence son “Safe in the light that surrounds me…” aussitôt dilation de pupilles,shoot d’adrénaline et frissons partout,je suis aux anges et me dit que James a changé,Overture 1928 débute la fosse est en fire,chez moi je headbang avec mon crâne chauve,James me parais plus a l’aise sur ce disque de 99 que sur la galette 2019!Les titres s’enchainent et  pour moi James assure grave dans ce qu’il lui reste,Rudess joujoute bien avec son clavecin portable qui fait toujours son petit effet,le groupe joue très bien je trouve ca péchu je sais pas si c’est l’effet Paris mais je les trouve au taquet,pause tendresse avec Throught Her Eyes,James est magnifique de A à Z il l’a finie doucement pas comme sur le live de Metropolis,en petite voix murmurée…parfait!Home déboule avec son intro typique qui déchire tout,avant ça James invite les Parisiens a crier Home,qui le lui rendent très bien le long du morceaux,intro de malade; mon pote,la fosse et moi sommes en pleine orgie musicale,le son est bon le groupe a envie,James se gargarise des Home parisiens puis s’enchaine The Spirit Carries On et la l’émotion est a son comble,James invite la salle a allumer la lumières des  portables,mon Guigui  me fais un tour de caméra de l’ensemble de la foule toute éclairée de milles feux artificiels,c’est magnifique,le final est dantesque cette chanson est magnifique.Puis vient Finally Free une de mes préférés tout album confondus,je supplie mon caméraman de ne pas faiblir( il n’a jamais faiblit d’ailleurs,respect et robustesse!)et c’est partit… « Friday Evening … »me transperce les oreilles mon dieu que c’est bon,James la passe divinement bien a ma grande surprise,c’est l’extase,seul le final Manginiesque me laisse perplexe une fois de plus,faut il être musicien pour comprendre son solo final?Estomaqué par la performance du groupe 20 ans après la tournée originale,je remercie mon Guillaume autant de fois que je peux,avant qu’il me retourne,devant sa caméra selfie “C’est cadeau mon pote!”je vais pas le cacher j’ai eu une petite larme devant le geste énorme qu’il venait de faire.Le rappel At Wid’s end déboule et déroule,c’est pas ce qu’il aurait fallu mettre mais bon,c’est pas moi qui décide des setlists!Pour ma part concert des 20 ans Absolument réussis,première partie en dessous niveau choix des titres,un James à la peine mais un groupe comme d’habitude calé sur le métronome,propre,comme disait André Manoukian sa sent le savon mais pas assez la foufoune!Bien sur Dot est a promouvoir mais c’est pas la magie d’antan qui dynamise la foule,même si c’est toujours plaisant de voir et entendre les morceaux live!Un Dream Theater en mode machine de guerre toujours impressionnant techniquement,l’interaction entre les membres ne saute pas au yeux comme au début de l’ère Mangini mais ils n’ont pas l’air de se haïr non plus!Du coup merci encore a mon pote Guillaume M.,je me suis sentit quand même moins dégoûté grâce a cette expérience interactive assez excellente pour ma part je tiens a souligner cette grande preuve d’amitié a mes yeux entre deux fan de Dream Theater depuis 1996-

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Tirage au sort

Ci dessous, vous trouverez la vidéo du tirage au sort de notre gagnant qui remporte le poster dédicacé.

Merci à tous les participants.

Épilogue

Ludo, notre gagnant a bien reçu son poster dédicacé.

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Encore bravo.

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Un commentaire Ajoutez le vôtre

  1. verosam dit :

    Felicitations au gagnant!

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